Fermement décidé à partager avec de petites gens le plaisir sans cesse renouvelé d'écrire ici, j'ai décidé d'embaucher des rédacteurs. Attention ! Je ne parle pas de simples pigistes tout juste capables d'écrire de vulgaires nécrologies de quartier dans un français approximatif...
Non. J'ai écumé le microcosme des plumitifs d'élite pour vous trouver la crème de la crème, le top du top, les nouveaux Balzac du grand reportage, l'élite de l'élite... Et j'ai déniché deux (vous lisez bien, pas trois, pas un mais deux !) perles rares.
Je vous fais grâce des âpres négociations qui ont été nécessaires pour recruter ce que la langue française peut s'enorgueillir de compter parmi ses plumes les plus acérées, je dirai juste que tout ça va me coûter un sacré paquet de pognon. Mes assedics vont y passer et je pense vendre la maison dont je suis actuellement locataire pour pouvoir faire face à mes nouvelles charges salariales. Mais bon, la perfection n'a pas de prix.
Le recrutement a eu lieu il y a de cela un mois. Je leur ai versé un acompte en cubi de St Chinian (4 chacun). Depuis, plus aucune nouvelle. Alors je veux bien payer ces putain de prolos scribouillards la peau du cul, mais la moindre des choses serait qu'ils arrivent à l'heure au boulot. Je commence à comprendre ce que ressentaient mes patrons quand je ne venais bosser ni le lundi ni le vendredi à cause de mon mal de dos ou de mon chat Bakounine Mc Gregor (paix à ses moustaches) qui s'était fait dévorer une patte par un mulot enragé...
Je garde tout de même espoir, car un jour ils auront fini de vomir mon pinard et alors là, que dalle que j'leur donnerai à picoler, en tout cas pas tant qu'ils ne m'auront rien pondu.
Bon, je vais refaire la tournée des bistrots, juste au cas où j'y trouverais une de mes deux perles rares.
Veillez tranquilles, je dors.
Non. J'ai écumé le microcosme des plumitifs d'élite pour vous trouver la crème de la crème, le top du top, les nouveaux Balzac du grand reportage, l'élite de l'élite... Et j'ai déniché deux (vous lisez bien, pas trois, pas un mais deux !) perles rares.
Je vous fais grâce des âpres négociations qui ont été nécessaires pour recruter ce que la langue française peut s'enorgueillir de compter parmi ses plumes les plus acérées, je dirai juste que tout ça va me coûter un sacré paquet de pognon. Mes assedics vont y passer et je pense vendre la maison dont je suis actuellement locataire pour pouvoir faire face à mes nouvelles charges salariales. Mais bon, la perfection n'a pas de prix.
Le recrutement a eu lieu il y a de cela un mois. Je leur ai versé un acompte en cubi de St Chinian (4 chacun). Depuis, plus aucune nouvelle. Alors je veux bien payer ces putain de prolos scribouillards la peau du cul, mais la moindre des choses serait qu'ils arrivent à l'heure au boulot. Je commence à comprendre ce que ressentaient mes patrons quand je ne venais bosser ni le lundi ni le vendredi à cause de mon mal de dos ou de mon chat Bakounine Mc Gregor (paix à ses moustaches) qui s'était fait dévorer une patte par un mulot enragé...
Je garde tout de même espoir, car un jour ils auront fini de vomir mon pinard et alors là, que dalle que j'leur donnerai à picoler, en tout cas pas tant qu'ils ne m'auront rien pondu.
Bon, je vais refaire la tournée des bistrots, juste au cas où j'y trouverais une de mes deux perles rares.
Veillez tranquilles, je dors.
3 commentaires:
Heureux de constater que la moitié de mon staff a fini de cuver... Pour l'augmentation, on passe à 5 cubis de St Chinian le mois prochain, dac ?
Enregistrer un commentaire