19 mai 2011

Gengis (Strauss) Kahn

Gengis et son chien Médor
Personnage historique considéré par beaucoup comme un tyran sanguinaire, il était surtout connu pour ne savoir tenir sa quéquette.

On ne compte le nombre d'occasions où la femme de ménage, pensant la yourte vide, y pénétra avec son aspirateur et en sortit pénétrée par son aspirateur. Ce genre d'événement ferait aujourd'hui scandale, mais il faut savoir qu'à l'époque, les femmes n'étaient jamais consentantes, aussi faut-il se replacer dans le contexte pour comprendre qu'il ne serait jamais venu à l'idée d'une quelconque soubrette d'aller voir la police pour un vague viol...

Mais revenons-en à notre personnage. Né en 1155 à Quingshui-sur-Seine, le bébé Kahn est affublé dès sa naissance d'une érection phénoménale : il est priapique et ses parents le prénomment Gengis en hommage à la racine de gingembre... Son deuxième patronyme (Strauss) lui est venu beaucoup plus tard, apporté par son goût immodéré pour les valses viennoises qu'il aimait à écouter sur son I-Pod lorsqu'il massacrait ses ennemis.

Beaucoup se plaignent aujourd'hui de ne pas être nés : la faute à qui ? Gengis et ses Forces Mongoles d'Intervention (F.M.I.) qui ont massacré leurs hypothétiques ancêtres avant qu'ils aient eu le temps d'engendrer une descendance. Car Gengis, que son père imaginait devenir star du X et ainsi mettre à profit son handicap, a beaucoup déçu ses parents en décidant de devenir maître du monde Les F.M.I. ont causé des morts par millions et jeté dans la misère encore plus de millions de gens. L'économie mondiale a été bouleversée par les "ajustements structurels" imposés aux nations et aux peuples.

Comme Gengis était un malin, il violait énormément, se disant que les médias aimaient à avoir un bon os à ronger avec plein de détails croustillants et sordides à souhait, et que pendant ce temps il pouvait à la tête de ses F.M.I. modeler le monde à sa guise.

Ce en quoi il n'avait pas tort.

Il est mort en 1227, et s'il est une raison de pleurer, ce n'est pas à cause de son trépas mais de la descendance qu'il nous a laissé, affublée des mêmes tares et ambitions.

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